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Écrit en roue libre et ré-orthographié correctement avec LibreOffice le 10 novembre 2023.
Veut-on des énergies qui génèrent moins de CO² ?
Il faut investir dans les énergies qui n’en génèrent pas : éolien, nucléaire, solaire ou investir plutôt des moyens qui émettent moins de CO² que d’autres qui en émettraient plus. Train plutôt qu’avion, etc.
Veut-on plus de professeurs pour avoir moins d’enfants par classe ?
Il faut investir dans un peu plus de locaux, investir dans la formation de plus de professeurs.
À ce titre, il me semble que l’avenir du système est principalement orienté par ceux décident des investissements publics ou privés.
Qui sont les personnes qui pourraient le plus facilement faire changer le système ?
Eh, bien ce sont ceux qui sont déjà aux commandes parce qu’ils ont actuellement les leviers et que ce sont ceux qui comprennent le mieux le système qu’il essayent de gérer.
Donc, ils vont essayer de le faire changer, évoluer tout en restant les maîtres, les organisateurs du système puisque en être les maîtres, les organisateurs leurs procurent immensément d’avantages.
Il faudrait arriver à ce que les investissements publics ou privés ne soient plus le monopole d’une oligarchie, mais qu’ils décidés plus démocratiquement. Ce serait un changement radical du système économico-politico-social.
Je ne l’avais pas prévu, mais je retombe sur les idées de Bernard Friot, de caisses d’investissements. Mais je n’ai jamais approfondi, sur ce propos, que des lectures en diagonale sur Internet.
Et vous avez-vous un peu réfléchi aux idées de Bernard Friot ?
Apparemment, il y aurait encore du travail pour mieux affiner ces projets de caisses d'investissements et de salaire à vie : https://www.frustrationmagazine.fr/le-p ... rategique/
L’avantage, c’est que les gens ordinaires, me semble-t-il, seraient plus à même de s’auto-limiter, que des gens habitués à la richesse.
Le problème d’un nouveau système économico-politico-social dont les décisions d’investissements seraient décidés collectivement, c’est que tout serait décidé très lentement, le temps que beaucoup de personnes comprennent les enjeux, que les personnes discutent beaucoup, que l’on écarte les enfumages, les arguments bidons, les manœuvres pour réintroduire en douce l’ancien système, etc.
Il suffirait d’une urgence réelle ou inventée pour que les tenants de l’ancien système puisse pousser leurs avantages de rapidité dans la décision.
Tous les prétextes d’urgence, me semblent, des arnaques pour nous manipuler, comme ces ventes à des conditions alléchantes mais dont la durée est extrêmement limitée.
Les prétextes d’urgence écartent le calme et la réflexion lucide, quels moyens merveilleux pour ceux qui veulent nous faire avaler des décisions contraires à notre intérêt !